Calme, silence, douceur, air pur... ce lac Cildir est un paradis.
En route pour rejoindre la Géorgie par le poste-frontière d'Aktas, François vérifie auprès d'un pompiste... il a du flair mon pilote en chef : ce poste-là est closed ! On est bon pour faire un grand tour par Turkgozu. Ça doit faire 100 km de plus... bouh. Et quels kilomètres. Après une surprenante 4 voies toute neuve qui semble mener à rien, ou à pas grand chose dans ce bout de Turquie reculée, nous avons droit à des zones de chantier et des routes trouées ou gondolées pendant près de 40 bornes... re -bouh !
Heureusement, il est 12h30, personne, les 2 postes-frontière sont côte-à-côte et en 20 minutes nous revoilà sur le sol Géorgien. Nous nous mettons à l'heure locale : + 1 heures avec la Turquie, ça fait + 2 heures avec Vertou. Puis, les "formalités" habituelles à Akhaltsiké : plein de carburant (ici le litre est à 0,80 €) et d'eau. Change : retour aux Laris (1 Lari = 0,42 €). Carte Sim avec internet, bien qu'ici ce ne soit pas de la 4G... Nous sommes au top maintenant ! Nous donnons du "didi madlova" (merci beaucoup) qui déclenche des sourires spontanés. Nous sommes cependant très très très loin de l'accueil à l'iranienne.
En traversant la ville, nous avons retrouvé femmes et hommes ensemble en terrasse, au café. Cela faisait longtemps.
Route de l'après-midi à travers le splendide petit Caucase très vert pour le mois d'août. Nous longeons la Koura rafraîchissante que nous retrouverons à Tbilissi.
Une journée tranquille qui nous rapproche de nos amis qui doivent errer en Arménie.
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La future voie sépare son champ de son village ! |
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Ici, les maisons ont des couleurs |
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Poste-frontière. Finie la Turquie. |
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Les conduites de gaz géorgiennes nous manquaient |
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Et aussi les balançoires de l'ère soviétique... |
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Petit Caucase verdoyant |
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