Séparation de corps convenue ce matin. Le petit Patrick a besoin de chaussures, le téléphone de Christiane a besoin d'une carte Sim qui marche et No-Mad a besoin d'une visite chez le garagiste. Nous devons nous retrouver à 12h30 à l'office du tourisme de Trabzon.
Au lieu de tout ça, nos camarades préfèrent passer la matinée au poste de Police ! Chez Vodafone, la mise en place chère mais ratée d'une recharge carte Sim s'est terminée par la confiscation du portable de Christiane par le responsable du magasin. Du coup Patrick s'est fait justice en "empruntant" le téléphone d'une employée. Ils ont dû faire appel à quelqu'un du consulat de Belgique pour démêler cet embrouillamini en français. Ressortis libres et délestés de 30 dollars, nous retrouvons difficilement nos camarades à Trabzon, à 17 h. Ouf. Seul point positif de la journée, on met en place la "fameuse" carte Sim qui se décide à fonctionner. Au final, toujours pas de chaussures et toujours pas de réparation pour le 4x4 ! Ce sera pour un autre demain...
De notre côté, nous avons peiné à nous occuper dans une ville portuaire industrielle qui offre peu de sites touristiques. Juste une place centrale et quelques rues piétonnes sympathiques.
Journée affreusement mémorable qui se termine super bien, en bord de mer. Nous n'avons plus qu'une heure de décalage horaire avec vous. Alors, à 19 h il fait déjà presque nuit.
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| La grand-place de Trabzon du nom du vénéré Ataturk |
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| Cireurs toujours, et ce n'est pas pour le touriste |
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| Elle cassait des noisettes sur son balcon |
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| Trabzon |
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