ANKARA

La contagion a opérée. L’équipage GAIA, pilote et co-pilote, est atteint et bien atteint !! Après la pharmacie bulgare retour à la « eczane » turque pour d’autres médications. Difficile de se mettre en train pour la visite d’Ankara, d’autant que la citadelle est perchée.

La citadelle au-dessus de gecekondus (ailleurs on appelle ça des favelas)

Heureusement les ruelles très très pentues sont très très pittoresques. Rien à voir quand même avec Istanbul. Le tourisme n’a pas fait son œuvre ; pas de fléchage, pas d’aménagements, pas de mise en valeur… mais beaucoup de saleté, vraiment. Dommage, car cette montée sur les remparts offre une vue panoramique sur toute la ville.

On récupère à coup de petites brochettes sympathiques dans les vieux quartiers commerçants au pied de la citadelle.
Notre deuxième visite sera réservée au Mausolée d’Ataturk installé dans la verdure d’une colline au cœur de la ville.

Nous y arrivons par une large allée bordée de 24 lions qui incarnent la force de la nation turque.

Je ne vous dis pas les dimensions. C’est colossal. Monumental mais sobre. Bizarrement, aucune statue du fondateur  de la nation turque mais un cénotaphe de marbre de 40 tonnes isolé dans une méga salle ; la tombe se trouvant dans un caveau en dessous. Et des galeries-musées interminables avec les souvenirs, effets personnels et cadeaux reçus par Mustafa Kemal. Un lieu de pélérinage hyper fréquenté. 

Et c’est reparti plein Est. Le paysage de montagnes aux formes arrondies est joliment désertique, propice à une pause nuit.

Encore un petit quiz
Nous savons que ce sont des fruits secs qui, en turc, se nomment Tahinli ou quelque chose comme ça, mais n’avons pas obtenu d’autres infos.
A vous de jouer…